Eden Anastasia Kennedy
22 ans, née à Barcelone, étude en stylisme, célibataire, Montrose

© tumblr // sophia anna bush♥

★ questions

Répondez à ces quelques questions...

◆ Quelle est votre madeleine de Proust ? À la recherche du temps perdu (de Proust). Le narrateur mange une madeleine et ceci déclenche un souvenir (en fait, plus qu'un souvenir), il revit une scène de son enfance dans laquelle il mangeait des madeleines... C'est peut être ridicule pour certains, mais pour moi, le son des vagues de l'océan me procure des émotions fortes qui me bouleverse grandement sans que je ne sache trop pourquoi. J'ai comme l'impression que, lorsque je me retrouve au bord de l'eau, je suis liée à celle-ci. A moins que cela vienne d'autre chose, de ma vie avant mon adoption peut être. Mais lorsque j'ai besoin de m'échappai de ma vie quotidienne, c'est vers l'océan que je me dirige sans hésitation, quitte à faire des heures en voiture pour le rejoindre. ◆ Comment vous trouvez-vous physiquement ? Et quelle partie de votre corps préférez-vous le plus ? Si je dis que je me trouve passable, je sens qu'on va me frapper ! Non mais vraiment, je ne me trouve pas extraordinaire bien que beaucoup me disent que je suis jolie. Je prends toujours ce compliment avec beaucoup de gêne d'ailleurs. Mais je dois quand même que ce que je préfère chez moi, ce sont mes yeux. ◆ Quelles sont vos principales qualités et vos principaux défauts ? On dit toujours de moi que j'ai le cœur sur la main et que je fais souvent passé les autres avant moi. Je ne sais pas tellement si cela est un défaut ou une qualité mais je pense tout de même mieux de ne pas être une personne égoïste qui ne pense pas qu'à son propre nombril. Aussi, on ne m'abat pas facilement, au contraire, je souris toujours, même quand cela ne va pas. Il n'empêche que je dois être un peu une force de la nature, car je suis une grande gueule quand on me connait bien et tétue à souhait. J'ai beau être timide au premier abord, je suis capable d'être une hystérique, dans le bon sens du terme, quand on me connait un peu. J'aime la vie, je la croque à pleine dents, et je dis merde aux mécontents ! ◆ Qu'est-ce qui vous irrite le plus chez les autres ? Quand ils mentent et sont hypocrites. Je déteste ça.

◆ Êtes-vous satisfait de votre vie actuelle ? Si vous aviez la possibilité de changer quelque chose, le feriez-vous et pour quoi ? Ma vie actuelle me satisfait car j'ai tout ce dont j'ai besoin pour vivre, et j'en suis bien heureuse. Le seul point noir que je me garde bien pour moi, c'est que je me pose continuellement la question de pourquoi mes parents adoptifs m'ont abandonné ? J'aimerai juste savoir d'où je viens, c'est tout. Mais je ne changerai tout de même pas de famille pour autant. ◆ Quel endroit de Houston fréquentez-vous le plus ? Les boites de nuit branché. Parfois, je me dis que, plutôt que de partir dans le stylisme, j'aurai du monter ma propre discothèque. ◆ Pourriez-nous vous parler de votre premier rapport sexuel ? C'est assez intime, il faut que cela reste entre nous surtout (a) C'était avec le fils des voisins, au Texas. Il était mignon, un peu stupide sur les bords, mais il avait réussit à faire chavirer mon coeur d'un seul claquement de doigt. Je crois que c'est la première fois où j'ai éprouvé ce sentiment d'amour pour une personne autre que de ma famille. Notre histoire n'as pas duré longtemps, seulement quelques mois, mais il a tout de même été ma première fois. En y repensant, je me souviens avoir été trouillarde, mes amies m'avaient parler du fiasco de leur première fois. Mais contrairement à elles, tout c'est bien passé pour moi. Peut être parce que j'étais entre les mains d'un gars qui s'y connaissait visiblement bien ... ◆ Êtes-vous un adepte des grands excès ? Ou avez-vous des fantasmes non-révélés ? Je suis une fille sage, du moins, c'est ce que mes parents ont de moi alors je ne veux pas briser la bonne image qu'ils se sont fait de moi. N'empêche, je peux quand même vous avouez qu'il m'est déjà arrivé de danser sur un bar en commençant une danse lascive tout ça car j'avais trop bu de vodka. Heureusement que mon meilleur ami m'as fait descendre de là avant que je termine en petite culotte. Mais je le soupçonne de m'avoir arrêté car beaucoup trop d'hommes à son goût me reluqué. Lui qui est gay, je lui faisais de la concurrence. ◆ Pour finir, quels sont les trois objets que vous emmeneriez sur une île déserte ? J'emmènerai sans aucune hésitation mon i-phone pour pouvoir prendre photos, vidéos, écouter de la musique et rester en contact avec le monde extérieur -car oui, le reste de la planète finirai par me manquer un jour ou l'autre-, une petite peluche que je garde depuis l'enfance et qui est pour moi, un souvenir sentimental, datant d'avant mon adoption et ... hmm ... un frigo avec de la nourriture car je risque d'avoir faim ! -sbaff- ◆ Comment c'est passé votre bal de promo ? Et si vous ne l'avez pas encore vécu, qu'attendez-vous de ce jour spécial ? Alors mon bal de promo. Piouf, j'ai cru vivre quelque chose tiré des films américains sur l'instant et quand j'y repense, j'en souris encore ! Mon cavalier, déjà, ressemblait traits pour traits au prince charmant d'un des contes de Disney. Il les faisait toutes craquées et pourtant c'est moi qu'il avait choisit. Le jour de son invitation, j'ai tout d'abords cru à une mauvaise blague et le soir du bal, j'avais encore peur qu'il me pose un lapin, mais il n'en fit rien. Cette soirée des plus agréables marqua d'ailleurs le début d'une des relations la plus longue que j'ai jamais vécu.

★ portrait chinois

Si j'étais...

◆ un animal : un berger blanc américain. ◆ une saison : l'été. ◆ une boisson : la vodka. ◆ une qualité : la joie de vivre. ◆ un défaut : la franchise. ◆ un film : moulin rouge.

◆ un personnage célèbre : Natalie Wood. ◆ un pouvoir magique : la télékinésie. ◆ un style de musique : pop-rock. ◆ un objet : un appareil photo. ◆ une ville : Barcelone. ◆ un métier : styliste.

★ histoire & more

Les grandes lignes, ou pas...

Souvent, pour commencer une histoire, on dit, il était une fois. Mais le fait est que, quand cela touche du domaine de la réalité, de la vraie vie, il est impossible que son histoire commence comme dans un conte de fée, et la vie d'Eden Anastasia Kennedy, née Noelynn Penrose ne sera pas un conte que l'on racontera à son enfant le soir avant d'éteindre la lumière. L'enfance de la jeune femme d'aujourd'hui, ne donne aucune envie d'être entendu, et encore moins vécu. Et pourtant ...

Août 1988, Barcelone.

Il fait chaud en cette journée du cinq août, une chaleur caniculaire alors que midi tapante sonne à l'église de la ville. Et pourtant, madame Penrose, enceinte de neuf mois, arrivant d'ailleurs prochainement à terme, ne s'en plains pas. Au contraire, comme elle le répète souvent à son maris, cette chaleur estivale devrait toujours être. Bannis soit l'hiver et son mauvais temps, elle ne jurait que par le soleil et la chaleur qu'il dégageait. A quinze heures, c'était déjà tout vu, elle sera à la plage, sous un parasol, les pieds en éventail et ses lunettes de soleil sur le nez. Mais cela serai sans compter sur le bébé qui en avait décidé autrement. Les contractions s'étaient enchainé d'un seul coup, sans que rien ne le laisse présager. La future mère s'était pliée de douleurs, et sans aucune hésitation, comprit qu'il était temps de rejoindre la clinique qu'elle avait choisit. Leur première fille ne voulait pas attendre, elle était entrain d'arrivé, que sa mère soit dans la salle d'accouchement ou non ! Les heures s'étaient enchainé, toujours pas de pleurs de nourrisson à l'horizon. Voilà qu'elle se faisait attendre, alors que tout le monde était fin prêt à l'accueillir. Il aura fallu tout de même prés de 13 heures de dur labeur pour que l'enfant arrive. Le six août, à deux heures du matin, alors que son père commençait déjà à dire, en blaguant, qu'elle était comme sa mère : un coup impatiente, l'autre coup, elle vous fait languir juste pour le plaisir de se faire attendre. Oui, Noelynn Penrose était tout le portrait de sa mère, avec une petite touffe de cheveux bruns en plus sur le crâne, la jeune mère étant elle, blonde.

Août 1990, Barcelone.

Deux ans. Deux années sans aucun nuage s'était écoulé avant que tout ne se chamboule en quelques minutes seulement. Noe' venait de fêté ses deux ans, marchait, courrait, sautait, riait, pleurait, bref, comme tout les enfants de son âge. Son vocabulaire était encore pauvre, mais les mots papa et maman s'enchainait déjà dans sa bouche, et elle n'avait aucun mal à aller vers le voisin ou pour se faire comprendre lorsqu'elle désirait quelques choses. Ses mots phrases en radait plus d'un gaga, et la petite brune s'était attiré toute la sympathie du quartier où elle vivait avec ses parents. Malheureusement, il suffit d'un manque de surveillance pendant deux minutes seulement, pour que l'enfant disparaisse sans laisser de trace. Monsieur et Madame Penrose, qui organisés un pic nique sur la plage avec quelques amis, l'avaient pourtant vu gambadé dans le sable, jouant avec toute l'innocence dont elle faisait preuve. La jeune mère n'avait détourné le regard que le temps d'une poignée de seconde, et lorsqu'il revint là où l'enfant était la dernière fois, elle n'y était plus. De simples appels se firent entendre au début. Des noe', noelynn. Puis des appels d'angoisses, des cries, des pleurs, des larmes. Une quinzaine de personne se mirent à la recherche de la fillette, mais elle n'était désormais plus. Les jours suivant, alors que les parents étaient dans une angoisse permanente depuis la disparition de la petite Noelynn, des plongeurs fouillèrent la mer méditerranée, des affichettes furent placardé aux arbres, des témoignages susceptible de dire où la fillette avait pu être vu la dernière fois fut entendu par la police. Un seul, d'ailleurs, intrigua ces derniers. Celui qui informé qu'une camion noire rodait dans les parages depuis plusieurs jours. Personne ne s'en était soucié, et pourtant, c'est cette apparition qui avait signé le début des ennuies. Kidnapping ! c'était exclamé un des agents sur l'affaire, et pourtant, aucune demande de rançon, rien, ne fut demander. Il faut dire aussi que la famille Penrose ne roulait pas sur l'or. Ils avaient de quoi vivre, oui, mais quoi de plus que les autres ? Pourquoi leur fille ? Personne en Espagne n'eût cette réponse, et encore aujourd'hui, les personnes qui s'en souviennent se pose encore la question.

Ce que personne ne se doutait à l'époque, c'était que l'enfant qui avait disparu dans un silence royal n'était pas resté dans son pays de naissance plus de dix heures après son enlèvement. L'homme à la camionnette noire était bel et bien responsable. Russe, il avait vu dans la petite fille, qu'il avait croisé au détour d'une rue alors qu'elle se baladait avec sa mère, l'enfant que sa femme avait toujours voulu, mais qui ne pouvait devenir mère une nouvelle fois. Un peu fou, il avait vu en cet enfant, un cadeau pour sa femme qu'il aimait tant, et une petite sœur pour son fils de six ans. Grand chanceux, il s'était procuré de faux papiers pour l'enfant en un temps records, et avait prit l'avion, sans qu'on l'interpelle une seule fois. Il avait alors rejoint Israël, avec celle qu'il appelait désormais sa fille. Anastasia. Un prénom qui en disait long, puisqu'il signifie renaissance. Noelynn n'était donc plus, Anastasia avait prit sa place, et l'enfant qui ne réalisait rien vu son jeune âge, comprit simplement que son papa et sa maman n'étaient pas là. Et dans le fond, cette cicatrice restera à jamais gravé dans sa mémoire d'enfant et la suivra le reste de sa vie.

Septembre 1990, Tel Aviv.

Cela faisait un mois que Monsieur Stanislas était rentré auprès des siens, avec une petite fille qui disait être la sienne à qui voulait l'entendre. Sa femme, elle, avait accueillis l'enfant les bras ouvert, bien qu'elle avait maintes fois fait savoir à son maris qu'il était totalement fou. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que la petite brune n'avait pas été abandonné comme l'avait dit l'homme. Il avait mentit, pour changer, et sa femme, bien qu'elle était prise de doute, avait décidé de le croire. Autant éviter de déclenché la folie et la colère de l'homme. Le seul qui posa la question à plusieurs reprises, c'était leur fils, Damian. Du haut de ses six ans, il n'avait pas bien compris quand son père lui avait dit qu'il avait maintenant une petite soeur. Loin d'être bête, l'enfant avait questionné sur le comment du pourquoi. Comment pouvait-il avoir une sœur, alors que le ventre de sa maman n'était pas devenu rond comme celui de la mère Callaway. Puis, la petite était bien grande déjà, bien qu'un peu chouineuse à son goût. Pourtant, il l'aimait déjà bien, allant jusqu'à se mettre devant elle quand son père prenait une crise de nerfs. Quand la mère réussissait à détourné son attention, Damian entrainait Anastasia au grenier, là où le père Stanislas ne mettait jamais les pieds. C'était leur cachette, et une fois, alors que les pleurs de la petite fille ne s'arrêtait pas, il lui avait offert une peluche qu'il appréciait tant, en lui expliquant qu'avec, il ne lui arriverai rien.
Au bout de deux mois, alors que la vie suivait son court et que Anastasia avait commencé à oublier les derniers mois, des hommes débarquèrent en pleine nuit dans l'habitat. Cagoulés, ils déclenchèrent des cries et des pleurs au sein de la maison. Et ce n'est que bien plus tard que madame Stanislas apprit que son mari avait été arrêté pour trafique d'enfants. Damian, chanceux dans son malheur, resta aux côtés de sa mère pendant qu'Anastasia était emporté avec les hommes armés. Stanislas avait reconnu que l'enfant n'était pas à eux, mais n'en expliqua pas plus. Les policiers n'arrivant pas à retrouver les vrais parents de la petite -pour cause, ils étaient toujours en Espagne et non Israël- ils la placèrent en orphelinat, sans s'en préoccupé davantage.

Décembre 1990, Tel Aviv à Septembre 2010, Houston.

La veille de Noël, alors que Anastasia était prête à passé la troisième fête de fin d'année de sa vie au côté de multiples enfants orphelins, une bonne nouvelle se fit entendre dans les locaux de l'orphelinat. En effet, il y avait une nouvelle adoption, une chance incroyable dans le malheur d'un enfant ici présent. Et c'était celle de Anastasia. Une bonne famille venait en effet de signer pour en avoir la garde. C'était un peu inattendu, mais l'enfant avait vu plusieurs fois ses adultes, parents de plusieurs enfants déjà. Elle les avait trouvé gentil, après que sa méfiance se soit atténué, et c'était surtout attaché à la jeune mère, brune comme elle. Dans sa nouvelle vie, sa troisième, on lui imposa un nouveau prénom : Eden. Eden Anastasia Kennedy.

Dans cette famille, celle née sous le prénom de Noelynn vécue finalement de bons moments, et une enfance plus agréable que ce qu'elle vécue quelques mois alors qu'elle n'avait que deux ans. Adorable, bien que réservée et méfiante, la brunette était une enfant calme, faisant partie intégrale de la famille Kennedy. Ainsi, d'ailleurs, elle eu des frères, et une sœur, d'un an plus jeune. Ali et Eden, ou plutôt une forte relation qui lie ces deux là, bien que niveau personnalité, elles ne se ressemblent pas tant que ça. Certes, elles ont des points communs, et à elles deux, elles font un duo de choc que tout le monde crains. Toucher un seul cheveu d'Ali et Eden fera de vous une chair à pâté dont même un chien ne voudrai pas. D'ailleurs, c'est pour cette raison qu'Eden s'aventura à Houston. Officiellement, pour poursuivre ses études de styliste et se rapprocher de sa sœur qui lui manqué alors qu'elle était resté à , officieusement, pour faire regretter au nouveau ex de sa sœur ce qui lui avait fait vivre. Bien qu'au final, elle n'aura guère le temps de se préoccuper de ce lâche.

★ hors-jeu

derrière l'écran se cache...

◆ prénom/pseudo & pays : f & france.
◆ âge : 20YO
◆ où avez-vous connu le forum ? on m'as envoyé le lien alors que je cherchais un bon forum
◆ votre personnage est-il un scénario ? nope (:
◆ qui désirez-vous en avatar ? sophia bush.
◆ acceptez-vous de le doublage de votre avatar et permettre ainsi à quelqu'un d'autre de le porter ? pour une fois, je vais être égoïste et dire non (a)
◆ fréquence de connexion : 5/7.

bienvenue

Merci pour l'accueil ma jj, pas besoin d'un meilleur accueil, celui là est déjà parfait♥
Troy, je ne dis pas non pour les jours supplémentaires -on ne sait jamais- et la réservation de l'avatar merci en tout cas

HAAAAAAN, SOPHIA! J'aime, j'aime et j'aime..
Bonne continuation!

LANTER plus ça va et plus je le trouve canon lui (a)
merci, merci, merciii

vous êtes trop chou merci
pas de problème pour les liens
par contre, je voulais terminé ma fiche se soir, mais on viens de me faire le coup de la sortie surprise du coup j'aurai du mal serai-t-il possible de me laisser jusqu'à maximum lundi ? promis je fais tout mon possible pour terminé avant mais là on viens de me prendre de court et on ne me laisse même pas le choix

Ah non pas possible! C'est hors de question çà, c'est INAMISSIBLE!


Mais bien-sur que tu peux. Tu l'as presque terminée en plus, ce serait vache de te faire ce coup là et Sophia t'est naturellement réservée/bloquée jusque là ,)

mais t'es sadique toi si je te dis que je t'aime, y a quelqu'un qui va venir me fouetter ? Bon en faite, fouet ou pas, je le dis quand même : merciiiiiiiiii, c'est adorable toi, je t'aime beaucoup très déjà -sors-

Bienvenue !!!!!